KEEP A BREAST : ASSOCIATION AGRÉE 1% FOR THE PLANETE

 
 
 
 
 
 
Francesca par Jen ACOSTA

Francesca par Jen ACOSTA

KABE soutien la lutte contre l’impact de l’environnement sur la santé. On ne peut s’engager pour le bien-être des jeunes générations sans s’engager pour la défense de l’environnement.

Depuis notre création nous axons notre discours sur l‘influence de notre environnement et de nos habitudes de vie sur notre santé; et aujourd’hui plus que jamais chacun sait et veut bien entendre qu’ils sont intimement liés.

Nous créons de nouvelles initiatives pour permettre aux jeunes de s’engager à nos côtés, pour donner la parole à celles et ceux qui partagent notre combat et nos valeurs, et pour mener nos actions toujours plus loin, au-delà des frontières politiques, économiques, et culturelles.

Afin de promouvoir l’autopalpation, Keep A Breast reste depuis 20 ans à l’écoute des jeunes femmes et s’aligne à leur mode de communication. Ainsi l’association renouvelle et adapte chaque année ses outils de sensibilisation à ceux utilisés par les jeunes femmes.

L’APPLICATION KEEP A BREAST

L’arrivée des téléphones intelligents nous a permis de réduire le volume de notre matériel éducatif imprimé. Par la mise à disposition de nos outils de sensibilisation en version digitale, nous avons pu toucher les femmes du monde entier, en proposant notre application en 3 langues.

A ce jour nous comptons 13000 utilisatrices de l’appli Keep A Breast.

SELON LE SITE SANTÉ PUBLIQUE FRANCE :

  • 58 459 : c’est le nombre de nouveaux cas de cancer du sein en France métropolitaine en 2018.

  • Environ 1 femme sur 8 développera un cancer du sein au cours de sa vie.

  • Entre 1990 et 2018, le nombre annuel de nouveaux cas de cancer du sein chez la femme a presque doublé, passant de 30 000 à 58 400 cas annuels, soit +1,1 % par an en moyenne.

  • De 2006 à 2015, les taux de mortalité du cancer du sein ont diminué de 2,6% par an

 
 

MEMBRES 1% FOR THE PLANET FRANCE AYANT CHOISI KEEP A BREAST

“Les liens entre expositions environnementales ou professionnelles et risque de cancer sont également une source d’interrogation croissante de la population et un sujet émergent de la relation médecin-patient.”

Source Cancer environnement


Cancers attribuables aux expositions environnementales : ce que l’on sait

Sans qu’il soit possible, en l’état actuel des connaissances, d’estimer avec précision la part de l’augmentation liée aux expositions environnementales, le lien entre l’apparition de plusieurs cancers et des expositions environnementales est clairement établi (InVS; Hill, 2008 ; Imbernon, 2002).

Selon la source des données et les facteurs pris en considération, les fourchettes d’estimation des cancers attribuables aux expositions environnementales sont très variables allant de 5 % pour le CIRC (Hill, 2008) à 19 % pour l’OMS.

Pour l’Institut National de Veille Sanitaire (INVS), 5 à 10 % des cancers seraient liés à des facteurs environnementaux, soit 15 000 à 30 000, 4 et 8,5 % des cancers seraient liés aux expositions professionnelles (Imbernon, 2002) et 25 à 30 % des cancers seraient imputables aux comportements individuels (tabagisme, alcool, obésité).
Selon la source des données et la pathologie, la part attribuable aux facteurs de risque environnementaux (risque attribuable) varie de façon considérable, on estime par exemple à 4 % la part des expositions environnementales et professionnelles dans les leucémies, tandis qu’elle est de 83 % pour les mésothéliomes (AFSSET, 2008).

Tandis que l’incidence de certains cancers augmente (par exemple les cancers du poumon, de l’ovaire, des testicules, les tumeurs cérébrales et les hémopathies malignes), il y a des cancers dont l’incidence diminue, notamment les cancers du col de l’utérus, des voies aéro-digestives supérieures (VADS), de l’œsophage et de l’estomac.

Cette augmentation constatée de l’incidence de plusieurs cancers a amené les chercheurs à développer des études sur les liens entre l’exposition à des facteurs physiques, chimiques ou biologiques présents dans l’atmosphère, l’eau, les sols ou l’alimentation et certains cancers.

Les liens entre expositions environnementales ou professionnelles et risque de cancer sont également une source d’interrogation croissante de la population et un sujet émergent de la relation médecin-patient.